Pourquoi ?
Parce qu'avec la multiplication des sources d'information, d'internet aux chaines d'info continue, nous sommes à longueur de journée inondés de mauvaises nouvelles...
Excellent. Voilà un antidote de choix contre la morosité; a priori. A priori, car en réalité je crains que notre pays n'entretienne avec une certaine perversité un penchant morbide pour la culture de la complainte. Or, pour tirer parti des bonnes nouvelles il faut se mettre dans l'état d'esprit de les accueillir comme telles. Autrement dit une bonne nouvelle ne l'est pas objectivement en soi; pas seulement; elle le devient si nous l'acceptons comme telle. Et pour casser la synergie entre le catastrophisme médiatique et celui des lecteurs-téléspectateurs qui s'alimentent mutuellement, il va falloir ramer. Alors ramons.